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Emotions

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10 mai 2010

La cicatrice

Elle est apparue et a disparu comme une étoile filante, juste le temps de quelques secondes

A son apparition, j’avais nourri des espoirs, je mettais plongé dans ce rêve, cette utopie

Loin s’en faut, elle était passagère, juste le temps de quelques minutes, de quelques secondes

Mais, elle m’avait laissé, pendant ce laps de temps, ces quelques secondes, une cicatrice profonde

Car je m’adapte tant bien que mal à cette nouvelle donne et j’avale tout doucement cette pilule

Que c’est douloureux et attristant ce feeling, cette flèche qui me traverse tout le corps endolori

J’avais rêvé amour et complicité là où il n’y avait qu’amitié, collaboration et fraternité sincères

Je lui avais ouvert grandement mes bras, mon cœur, cependant je ne reçu que méchancetés

Je pensais l’avoir conquise, mais elle ne manifestait que juste l’illusion d’une amitié, d’un amour sans suite

Elle m’avait presque brisé, fendu le cœur  en s’amourachant de cet autre nouveau courtisant

Mais, je me refais et je rebondirai en temps opportun, juste le temps qu’il faut pour cicatriser

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1 juillet 2009

Spleen

J'ai cru qu'il fallait m'éloigner de toi pour t'oublier, pour étouffer cet amour

Bien au contraire, c'est maintenant que cette passion prend de l'ampleur

Je me sens comme vidé, comme ce géant aux pieds d’argile, sans vie

Je n’existe que par ces rares moments où l’on a pu échanger des coups de fil

Je suis incapable de passer toute une journée, un moment sans penser à toi

Et je me retrouve avec cette tristesse qui m’étreint le cœur, qui m’affaiblit

J’ai cru qu’il fallait que je me débarrasse  de toutes ces photos de toi pour t’oublier

Bien au contraire, c’est maintenant que je suis à la recherche de tout ce qui est toi

Je me retrouve en train de fouiller dans mes mails à la recherche de ce qui est toi

Je suis malade et ma maladie n’a de traitement que la douceur de ta voix,

Le sourire sur ton visage, le parfum que dégagent tes vêtements, juste un peu de toi

Je pensai vraiment que je pouvais t’oublier et ne plus souffrir de cette passion

Mais inexorablement, quelque chose, une force soudaine m’attire vers toi

Une force qui, je ne saurai l’expliquer, attise mon envie d’être avec toi, de te contempler

Plus je m’éloigne, plus grande est cette envie, cette force, cette passion qui me déchire le cœur

Chaque jour, chaque heure, chaque minute, chaque seconde, je t’aime et Dieu m’est témoin.

7 mai 2009

Du plus profond de mon être

S’il me fallait partir en voyage, dans un désert lointain

Et qu’il ne m’était permis qu’un seul choix à la fois,

Je t’aurai choisie car je mourrai sûrement d’amour pour toi

Bien avant que la soif ou la faim ne m’emporte dans l’au-delà

S’il me fallait prouver mon amour par un acte de bravoure,

Je crois que je serai prêt à aller au ciel pour y décrocher la lune

Rien que pour toi, pour tes beaux yeux et pour être à tes côtés

Si je devais m’en aller pour l’au-delà, j’aurai souhaité avoir

Ton visage comme dernière image de ce monde ici-bas

Si je devais choisir mon réveil, j’aurai préféré chaque matin

Un doux baiser, bien appliqué de tes douces et sensuelles lèvres

Si je devais choisir un combat, j’aurai choisi de lutter pour

Ta conquête et vivre de jouissances et d’amour en ta compagnie

Si je devais choisir un rôle dans ta vie, j’aurai choisi être

Ton confident, ton héro, ton amant, ton amoureux pour la vie

Si tu avais été un arbre, je crois que j’aurai été un oiseau

Pour m’y percher et ne jamais te quitter très chère bien-aimée

1 avril 2009

Mélancolie

Beauté de mes rêves, bellísima, mí amor te quiero más cómo el agua se necesita

Mí amor, estoy enfermo del corazón porque no puede existir sin tu poco sonrisa

J’ai soif de toi, j’ai faim de tes lèvres, je meurs d’envie de toi, de t’embrasser 

Je contemple avec désir et émotions ton visage de rêve, tes lèvres colorées

Je souffre cependant de ne pouvoir le toucher, le caresser, sentir sa douceur

Spleen, oui spleen que de constater ton indécision avéré, tes hésitations

Je nage dans les méandres de l’incompréhension de ta personnalité troublante

Beauté de mes rêves, bellísima, mí amor te quiero más cómo el agua se necesita

Mí amor, estoy enfermo del corazón porque no puede existir sin tu poco sonrisa

Reine de mes rêves et de mes jouissances, sans toi plus rien ne m’importe, nada

Je ne peux être à tes côtés, sentir ton parfum et ne pas te caresser, te désirer

Cette attraction que je ressens pour toi, m’est si chère comme l’eau pour le poisson

Oh combien désirée, cette symbiose de nos vies, nos sentiments, nos corps enlacés 

26 novembre 2008

L’orchidée

Orfèvre émérite, tu as su tailler ma passion à la mesure de ta beauté,

 

Raffiné, gracieuse et ambitieuse, le rayonnement de ta beauté m’a ébloui

 

Charme et séduction sont les armes qui ont achevé parfaitement ton œuvre 

 

Humble, tu l’es et ta personnalité ne fini sans cesse de me surprendre. Car tu es

 

Insaisissable, insondable, tu m’échappes toujours quand je crois t’avoir à ma porté

 

Du fond de mon cœur, à une place non encore accédée, j’ai gravé ton nom Reine

 

Elégante, tu es d’une dextérité dans la séduction ; tu es féconde d’enchantements

 

Evidement que bonté et beauté riment avec ta personne, toi si gentille, si douce

 

 

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20 novembre 2008

L'Amour!

L’Amour, qu’est ce que l’Amour ?

Est-ce ce feu qui nous torture, qui nous brûle, nous consume

Dont les flammes sont les pulsions, les libidos et désirs divers

Qui nous tourmentent et nous conduisent souvent à la déraison ?

L’Amour, qu’est ce que l’Amour ?

Est-ce cette joie que nous procure la vue de ce que l’on désire ?

Cette joie enivrante, ce bien-être que nous ressentons au plus profond de nous même

Cette symbiose, cette complicité que nous avons avec le sexe opposé, avec l’autre

L’Amour, qu’est ce que l’Amour ?

Ou est-ce cette volonté, cette joie d’être en harmonie avec tout ce qui nous touche ?

Serait-ce ce sentiment noble que devrions nous éprouver les uns envers les autres ?

9 octobre 2008

Femme Noire - L. S. Senghor

Femme nue, femme noire
Vêtue de ta couleur qui est vie, de ta forme qui est beauté
J'ai grandi à ton ombre; la douceur de tes mains bandait mes yeux
Et voilà qu'au cœur de l'Eté et de Midi,
Je te découvre, Terre promise, du haut d'un haut col calciné
Et ta beauté me foudroie en plein cœur,
comme l'éclair d'un aigle

Femme nue, femme obscure
Fruit mûr à la chair ferme, sombres extases du vin noir, bouche qui fais
lyrique ma bouche
Savane aux horizons purs, savane qui frémis aux caresses ferventes du
Vent d'Est
Tamtam sculpté, tamtam tendu qui gronde sous les doigts du vainqueur
Ta voix grave de contralto est le chant spirituel de l'Aimée

Femme noire, femme obscure
Huile que ne ride nul souffle, huile calme aux flancs de l'athlète, aux
flancs des princes du Mali
Gazelle aux attaches célestes, les perles sont étoiles sur la nuit de ta
peau. Délices des jeux de l'Esprit, les reflets de l'or rongent ta peau qui se moire
A l'ombre de ta chevelure, s'éclaire mon angoisse aux soleils prochains
de tes yeux.

Femme nue, femme noire
Je chante ta beauté qui passe, forme que je fixe dans l'Eternel
Avant que le destin jaloux ne te réduise en cendres pour nourrir les
racines de la vie.

L. S. SENGHOR

20 août 2008

A toi

Reine, Regina que s’exerce ton pouvoir sur ce monde de désir et de passion
Impératrice du royaume de mon cœur, à toi je me soumets tout entier
Irréfutable, le pouvoir de ta bonté anéanti toute volonté de rébellion de ma part
Naturellement, ta beauté s’impose à moi comme le jour à la nuit
Majesté, je suis assujetti à jamais à cette passion qui me dévore de l’intérieur

14 août 2008

Le mirage

Comme un solitaire dont le chameau s’est échappé en plein désert,

Assoiffé et affolé à la recherche d’un oasis, d’une source de vie,

Dont le moindre reflet de la chaleur lui donne des troubles de la vue,

Je me perds dans ce rêve qui me poursuit chaque jour, chaque nuit,

Ce mirage qui me fait espérer tantôt et me plonge ensuite dans un abîme

Ta personnalité, quand je crois la cerner, elle se dissipe telle une poussière

Je me perds dans le gouffre des sentiments que j’éprouve à ton égard .

Je me croyais fort, solide comme un rock mais j’ai succombé car je suis faible

Devant ce regard, ces yeux, ce visage qui m’attire, m’hypnotise, me désarme ;

Ces lèvres, cette bouche que mon regard caresse, dont je m’enivre de désir ;

Que dire de ce corps, ce fessier, cette forme superbe qui fait vibrer mes sens,

Tu es la reine de mes désirs, de mes rêves, peut être suis-je aveugle voulu

Peut être même que je ne suis qu’un utopiste qui tend la main vers l'inaccessible.

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